L’euthanasie et le choix : Table des Matières

« C’est possible que le droit de mourir soit un corollaire inévitable de la liberté de choix, subjectif, de l’être humain.

L’euthanasie, par contre (c’est à dire la mort présentée en soin médical objectivement indiqué), demeure un méfait éthique, dont la pratique s’attaque aux assises de notre société égalitaire. »

— Gordon Friesen, 9 juin, 2020

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Ce site consiste dans une invitation à la discussion, dont le cadre serait fourni par un ouvrage comprenant deux tomes, publié en extraits non-séquentiels, au rythme d’une ou deux additions par semaine. Toutes les contributions, anciennes et nouvelles, demeurent ouvertes aux commentaires (voir espace-commentaire au bas de chaque page). Merci de votre visite.

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Consulter la dernière addition au texte du “Livre en devenir”, en date du 6 juin, 2022 : (Tome Deuxième : Sous l’ombre de l’euthanasie — Partie C : L’euthanasie et l’idéologie — Section IV: La proposition d’infanticide, avancée par Helen Keller, 1915 — Chapitre: L’art rhétorique de manipuler son auditoire)

Consulter le mémoire déposé à l’intention de la Commission spéciale sur l’évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie (Assemblée nationale du Québec, 2021). Voire le temoignage de l’auteur devant la Commission le 19 août, 2021) (Vidéo)

Consulter la Lettre ouverte à l’Honorable Chantal Petitclerc, Sénatrice (en date du 2 février, 2021)  : Étant la communication d’une personne handicapée à l’intention d’une autre, à l’occasion de la révision sénatoriale du projet de loi C-7, modifiant les conditions d’accès à l’euthanasie volontaire (aide médicale à mourir)

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Table des Matières abrégée (Pour trouver votre place dans un coup d’œil)

Tome Premier : L’euthanasie et le choix

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• Partie A : Introduction, et genèse conceptuelle de l’euthanasie volontaire (« aide médicale à mourir »)
• Partie B : l’euthanasie et la clientèle (modifié le 5 juin, 2021)
  • Section I (T1-B-I) : Le vécu des personnes handicapées, malades et mourantes
  • Section II (T1-B-II): la morale et la loi
    • Sous-Section II a) (T1-B-II-a) : La morale dite « catégorique », « objective », « universelle », ou « absolue »
    • Sous-Section II b) (T1-B-II-b) : La morale dite « subjective »
    • Sous-Section II c) (T1-B-II-c) : Quelle morale choisir ? (modifié le 21 novembre, 2020)
  • Section III (T1-B-III) : La « Pente Glissante » (modifié le 5 juin, 2021)
• Partie C (T1-C) : l’euthanasie et la médecine (modifié le 30 mai, 2022)
  • Section I (T1-C-I) : Une réalité nouvelle
  • Section II (T1-C-II) : Hippocrate : la tradition et l’ histoire de la profession médicale
  • Section III (T1-C-III) : Une société en rupture (modifié le 2 mai, 2022)
    • Sous-section III a) : L’Entre-deux-guerres, la Dépression et la Prohibition
    • Sous-section III b) : La suite des choses: Une deuxième génération sacrifiée à la guerre, et la Contre-culture des Années Soixante (modifié le 2 mai, 2022)
  • Section IV (T1-C-IV) : Hippocrate bis (modifié le 9 octobre, 2021)
    • Sous-section IV a) : l’avortement (modifié le 25 mai, 2021)
    • Sous-section IV b) : La médecine perçue du coté obscur (modifié le 9 octobre, 2021)
    • Sous-section IV c) Une pratique hippocratique, malgré tout (modifié le 13 nov, 2021)
  • Section V (T1-C-V) : Quelques considérations pratiques : les pertes financières et humaines à prévoir suite à l’utilisation des professionnels médicaux comme agents homicides
  • Section VI (T1-C-VI) : L’avis des médecins (modifié le 18 septembre, 2020)
• Partie D : Conclusion Provisoire

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Tome Deuxième : Sous l’ombre de l’euthanasie

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• Partie A : Mise en matière
• Partie B : L’euthanasie et l’économie (modifiée le 11 septembre, 2021)
  • Section I (T2-B-I) : La santé personnelle et les soins curatifs
  • Section II (T2-B-II) : Le régime de santé publique (modifiée le 16 juillet, 2021, 2021)
  • Section III (T2-B-III)  : La médecine de la mort (modifiée le 11 septembre, 202
• Partie C : L’euthanasie et l’idéologie (modifié le 21 mai, 2022)
  • Section I (T2-C-I) : Paradoxe : l’intérêt vital de chaque particulier versus l’intérêt budgétaire de la collectivité
  • Section II (T2-C-II)  : Une description des sources idéologiques de l’euthanasie en Occident (modifié le 9 mars, 2022)
  • Section III (T2-C-III) : Le patrimoine philosophique ancestral : le caractère sacré de la vie ; la valeur intrinsèque de l’individu humain ; les origines divines de « l’égalité » politique (modifié le 21 mai, 2022)
  • Section IV (T2-C-IV) :La proposition d’infanticide, avancée par Helen Keller, 1915 (modifiée le 17 avril, 2022)
• Partie D : L’euthanasie et la société
  • Section I (T2-D-I): Dans quelle mesure est-il possible d’intégrer un “droit de mourir” sans abandonner nos principes humanitaires?
  • Section II (T2-D-II) : Recommandations spécifiques (modifiée le 21 février, 2022)

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Le Livre en devenir

Table des Matières ( détaillée )

Tome Premier : L’euthanasie et le choix

Partie A (T1-A) : Introduction, et genèse conceptuelle de l’euthanasie volontaire (« aide médicale à mourir »

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• Chapitre 1
• Chapitre 2
• Chapitre 3 : Du suicide simple au suicide assisté
  • le suicide 
  • deux réactions sociales au fait de suicide : tradition et choix
  • décriminalisation du suicide (publié, 24 Décembre, 2018)
  • la nature particulière du suicide assisté
• Chapitre 4 : l’euthanasie volontaire ou « aide médicale à mourir »
  • distinguer l’euthanasie, avec sa tradition empoisonnée, de l’assistance au suicide (publié, 8 Janvier, 2019)
  • incohérence inhérente de « l’aide médicale à mourir » (publié 20 Janvier, 2019)
  • articulation de l’exception médicale ; une fausse distinction parmi les catégories de « souffrance » (publié 13 mars, 2019)
• Chapitre A-5 : Considérations techniques (juridiques et politiques) qui contribuèrent à la forme actuelle de cette innovation sociale, mais qui ne l’expliquent pas pour autant
  • Volonté populaire, Législature et Cour Suprême (publié 9 Avril, 2019)
  • Partage des pouvoirs au sein de la fédération Canadienne : pourquoi une définition Québécoise (provinciale) de l’euthanasie en « soin » médical ?
  • D’autres facteurs qui favorisait la préférence pour l’euthanasie au Québec : radicalisme idéologique
  • Les médecins québécois(e)s : résistance et collaboration ; tomber dans le piège tendu (publié 6 Juin, 2019)
• Chapitre A – 6 : Aide médicale à mourir : un aperçu de la voie devant
  • la nouvelle donne
  • effets collatéraux (publié le 12 Juillet, 2019)
• Chapitre : Une stratégie proposée de retour franc au principe de « choix » souverain, pour affirmer, aussi, les choix vitaux de la majorité non-suicidaire
  • Distinguer clairement la justification de liberté personnelle (suicide) de celle de la classification objective de la valeur des vies humaines (euthanasie)
  • Les souches de militants historiquement associées à ces deux justifications et le caractère paradoxal, de leur alliance contextuelle à l’appui de l’aide médicale à mourir
  • L’Urgence conséquente (pour les amis de la liberté), de répudier cette alliance anormale
  • Les bases possibles d’une nouvelle coopération, entre libertaires et traditionnalistes, dans le but d’atténuer cette menace exceptionnelle qui soit l’euthanasie (publié 13 Août, 2019)

Partie B (T1-B) : l’euthanasie et la clientèle

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• Section I (T1-B-I) : Le vécu des personnes handicapées, malades et mourantes
  • Chapitre 1 : pluralité d’opinion chez les premiers concernésimpressions trompeuses produits par certaine personnes iconiques, malades ou handicapées
    • la regarde des bien-portants : différence de perception fondée dans la différence expérientielle ; nature changeante de l’opinion publique
    • Terry Fox (publié le 25 Décembre, 2018)
  • Chapitre 2 : Vedettes Québécoises et le suicide : Pauline Julien et Gérald Godin
    • spécificité politique du Québec (publié 8 Janvier, 2019)
    • Pauline Julien (publié 11 mars, 2019)
    • Gérald Godin (publié 26 Mars, 2019)
    • Vivre dans la dignité : la force et la générosité du feu Gerald Godin
    • Le précédent dont nous en héritons les fruits (publié 26 Avril, 2019)
    • Mystère du choix subjectif devant le suicide assisté et l’euthanasie
    • Résonance sociale des choix épousés par le vedettariat ; un public enthousiaste, ambivalent, et capricieux (publié le 18 Juin, 2019)
  • Chapitre : un portrait quantitatif des choix exprimés devant le suicide assisté et l’euthanasie, parmi la clientèle visée
    • Un survol général de l’écart qui sépare la perception des suicides médiatisés, et les faits observés
    • La normalité de la persévérance vitale (publié le 19 juillet, 2019)
    • Les vrais chiffes : faible pourcentage de souffrants qui acceptent de mourir par euthanasie
    • L’expérience Belge et Néerlandaise (publié le 31 Août, 2019)
    • Le taux d’euthanasie, quelque peu plus élevé, qui soit observé parmi les patients atteints de cancer
    • l’importance de la dissonance entre la perception du phénomène, et la demande réelle : une accommodation institutionnelle, à l’euthanasie, qui dépasse grossièrement la demande. (publié le 28 septembre, 2019)
  • Chapitre : La fragilisation accrue du statut social de la personne handicapée, malade et dépendante, suite à la légalisation de l’euthanasie (aide médicale à mourir)
    • De principes contemporains, très favorables à la vie des handicapés et autres personnes dépendantes
    • Nouvelle présomption de variation objective dans la valeur des vies : mériter ou ne pas mériter de vivre ; et dans l’estimation ou à l’avantage de de qui ?
    • Difficulté, pour la personne type, de revendiquer son droit de vivre, face à la normalisation des critères objectifs qui dévalorisent sa vie (publié le 29 octobre, 2019)
  • Chapitre : Des explications, des anecdotes, et un plaidoyer de l’auteur, au sujet de la volonté vitale exprimée par la clientèle, et leur rejet de l’option euthanasique
    • L’auto-identification, de l’auteur, comme client désigné de l’euthanasie
    • L’Énoncé primaire de la volonté vitale
    • Des anecdotes de l’auteur, et ses conclusions personnelles
    • La consternation, des personnes visées, de se voir amoindries dans la perception publique, en fonction de critères objectifs
    • Les Assurances peu convaincantes véhiculées par les promoteurs de l’euthanasie (publié le 26 novembre, 2019)

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• Section II (T1-B-II) : la morale et la loi
• Sous-Section II a) (T1-B-II-a) : La morale dite « catégorique », « objective », « universelle », ou « absolue »
  • Chapitre : confusion dans la forme de la justification morale à la base de l’euthanasie
    • la morale universelle et objective, versus la morale contextuelle, qui surgit à l’intérieure de la subjectivité humaine (publié le 5 Avril, 2019)
  • Chapitre : influence incontournable de l’ethos traditionnel dans la vie contemporaine
    • L’actualité de la morale objective : le reflexe toujours dominant d’exiger l’unanimité et le consensus
    • décalage, des conclusions instruites face aux croyances primaires : nécessité et fragilité des libertés de conscience et d’expression (publié le 27 Mai, 2019)
    • Quand le révolutionnaire s’improvise en autorité moral
    • La morale catégorique : Résilience, dans la perception populaire ; rationalisation, chez les philosophes ; la nécessité d’en tenir compte (publié le 9 Juillet, 2019)
    • Simplicité rassurante de prescription dans le régime de morale universelle
    • L’Example du cannabis (publié le 9 Aout, 2019)
  • Chapitre – L’Exception érigée en règle, ou : Ce qu’Alice trouva de l’autre côté du miroir.
    • L’effet de l’exception
    • L’Application de ce principe dans l’analyse des exceptions retenues pour décriminaliser l’euthanasie
    • La justification de l’exception
    • La dérive face aux attentes ; et face, peut-être, à l’intention (publié le 13 Septembre, 2019)
    • La confirmation fortuite de préjugés ancestraux (publié le 8 octobre, 2019)
  • Chapitre : Une vision moins pessimiste de l’humain
    • La dualité (paradoxe) morale de  « l’Homme naturel » et de « l’Homme-en-devenir », ou, la fatalité versus l’espoir
    • Un mouvement vers l’humanisation des mœurs, et vers des intentions de protection respectueuse à l’égard de la vie dépendante
    • Notre dette envers nos aïeuls : l’affirmation d’une dignité intrinsèque à toute vie humaine (publié le 13 novembr, 2019)
    • L’accession au statut humain
    • La morale soutenue par la loi
    • La protection de la faiblesse, établie en principe d’organisation sociale
    • Le marché, autrefois conclu, entre le malade et son entourage
    • La problématique soulevée par l’existence d’une minorité suicidaire
    • Un choix lourd de conséquences (publié le 5 décembre 2019)
  • Chapitre : Le suicide assisté, et l’euthanasie, présentés dans une cadre de morale objective : des constats qui s’imposent
    • Une absence de consensus concernant le bien objectif du suicide assisté
    • Une substitution de subjectivité : insatisfaisante à son tour
    • Une appropriation illégitime de l’autorité scientifique pour occulter le problème moral
    • Les effets malheureux d’avoir caché la moralité sous une patine de science
    • Le « soin » médical de tuer son patient : une déformation de langage aux aboutissements multiples
    • Une obligation impérative de reconsidérer, si non les buts visés, aux moins les méthodes employées (publié le 1 janvier, 2020)

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• Sous-Section II b) La morale dite « subjective »
  • Chapitre : Comment la morale subjective – relative, contextuelle et personnelle — se distingue de la morale universelle, catégorique, et objective
    • L’objectivité morale : un système conçu pour bien vivre ensemble
    • Le fort prix exigé de quelques-uns, pour soutenir le consensus objectif de plusieurs
    • une compassion qui s’exprime dans le relativisme contextuel ; les limites de cette méthode sous le sigle objectif
    • Une réaction de révolte qui s’érige sur la subjectivité souveraine (publié le 24 janvier, 2020)
    • Le penchant, essentiellement égoïste, de la morale subjective
    • Une première réplique des champions de la subjectivité
    • Des difficultés coriaces qui subsistent (publié le 15 février, 2020)
  • Chapitre : Comment affranchir le subjectif du cadre traditionnel ; devions-nous choisir le tort limité du suicide ? ou celui, infiniment plus nocif, de l’euthanasie ?
    • Les qualités positives, de part et d’autre
    • Les lacunes lamentées des deux
    • Deux principes apparemment irréconciliables
    • Placer le suicide assisté clairement dans un contexte subjectif ; éviter l’objectivisme de l’euthanasie ; minimiser les torts secondaires (publié le 21 mars, 2020)
  • Chapitre : Le suicide assisté et l’euthanasie volontaire (aide médicale à mourir) regardés franchement, enfin, à travers la lorgnette du choix subjectif
    • Un rappel des intentions de l’auteur
    • Un débat mal engagé aboutissant au mauvais port
    • L’ironie fâcheuse d’un tel aboutissement
    • Articulation primaire du droit à mourir
    • La question de la liberté franchement posée (publié le 26 avril 2020)

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• Sous-Section II c) : Quelle morale choisir ?
  • Chapitre : Une comparaison des avantages d’un droit de mourir universel, versus ceux du régime actuel d’exceptions médicales à l’interdit
    • L’exposition des deux modèles législatifs
    • S’agit-il, réellement, d’une distinction morale significative ? (publié le 6 juin, 2020)
    • Les bienfaits du modèle de droit subjectif, pour la médecine, et pour les médecins
    • Les bienfaits du modèle de droit subjectif, face à la morale publique
    • Une tentative fâcheuse d’instrumentalisation de l’autorité scientifique, qui dissimule mal la main de l’État
    • Une fausse vision de l’homme — sujet passif de l’autorité — qui soit content de « se faire dire »
    • Nous expliquer l’euthanasie devant nous-mêmes, et devant nos enfants (publié le 18 juillet 2020)
    • Les bienfaits du modèle de droit universel à justification subjective, pour les handicapés, pour les mourants, et pour les malades chroniques
    • L’importance transcendante du principe de l’égalité
    • Une prévention possiblement accrue, grâce au dépistage de pathologies traitables
    • Un effet dissuasif de la responsabilité, face au choix libre
    • En somme : des bienfaits (relatifs) de la justification subjective ; pour le médecin, pour le patient, et pour la société (publié le 29 août, 2020)
  • Chapitre – À quel prix la liberté ?
    • Une hésitation, et un doute
    • La rupture de notre relation sociale, protectrice, vis-à-vis du suicide et de sa prévention
    • Un fond d’effroi, devant l’octroi d’un droit universel : la perte des êtres chers ; le suicide de nos enfants
    • Le désir d’établir des limites protectrices
    • Une différence de perception des plus significative
    • Un refus sélectif d’accès à la bouée de sauvetage
    • Une conclusion catégorique (publié le 9 octobre, 2020)
  • Chapitre : Illuminer notre devoir de choix philosophique : L’essai empirique des critères limitatifs d’éligibilité (dits « sauvegardes »)
    • Un choix difficile : les deux (ou trois) façons de faire, et la distribution des torts
    • Rétablir l’interdit inconditionnel de l’homicide
    • Une véritable liberté universelle : le droit de mourir
    • Un faux espoir de solution dans le compromis : des exceptions médicales à l’interdit
    • Même pour les subjectivistes : point de repos
    • Des loyautés personnelles durement divisées
    • L’adolescence handicapée : un danger spécifique, totalement ignoré dans la logique existante d’euthanasie volontaire
    • Franchement accueilli devant la difficulté du choix : existerait-t-il un dernier espoir dans l’essai empirique des « sauvegardes » ? (publié le 21 novembre, 2020)

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• Section III (T1-B-III) : La « Pente Glissante »
  • Chapitre 1 : La pente redoutée
    • rappel de l’argument : son élaboration dans le contexte du passé, et sa nouvelle signification (publié le 12 Fevrier, 2019)
  • Chapitre 2 : Dynamique de la Pente : La solidité des bornes proposées et l’importance des forces qui les assaillent.
    • Les Bornes
    • Base comparative, peu flatteuse, fournie par de critères objectifs communément employés
    • Absence d’accord objectif au sujet de la valeur relative des vies humaines (publié 28 Mars, 2019)
    • La véritable nature des critères d’admissibilité à l’euthanasie volontaire : des symboles de convenance temporaire, pour représenter des « inconnus » (publié 9 Mai, 2019)
  • Chapitre : Souffle d’une mouvance multi-centenaire vers l’émancipation individuelle : le divorce, l’homosexualité et l’avortement
    • contexte plus large ou s’inscrit le « droit à mourir » (publié le 29 Juin, 2019)
    • Le Divorce : un exemple de contradictions philosophiques, et légales
    • Évolution des lois : de La Révolution au présent (publié le 29 juillet, 2019)
    • L’avortement : un exemple particulièrement instructif pour comprendre l’évolution future de l’euthanasie (publié le 4 Août, 2019)
  • Chapitre : La dynamique de contestation progressive des limites d’admissibilité à l’aide médicale à mourir (publié le 1 octobre, 2019)
    • L’ampleur du suicide assisté malgré les lois existantes, ou :  Au-delà de la théorie, la vraie vie De nombreuses confirmations de fait, déjà visibles dans l’histoire récente de la société contemporaine
    • Décriminalisation informelle sans changement de loi : l’homosexualité et le cannabis
    • L’exposition, de plus en plus explicite, du suicide assisté et de l’euthanasie (publié le 1 novembre, 2019)
  • Chapitre : L’épisode Rodriguez
    • La montée récente du suicide assisté, observé sur fond historique de l’Après-Guerre
    • Un nouveau départ pour les euthanasistes
    • L’importance pivotale de l’épidémie du SIDA
    • Le rôle dominant, des activistes homosexuels, dans l’avancement du « droit à mourir »
    • Le droit à mourir selon les victimes du SIDA
    • À la rencontre des personnalités : Sven Robinson
    • Une deuxième perspective : John Hofsess
    • Les deux tendances à l’appui de l’aide médicale à mourir : exposées dans leur antagonisme essentiel ; et dans leur cohabitation de fait
    • L’effet unificatrice du phénomène « Sue Rodrigues » (publie le 29 novembre, 2019)
  • Chapitre : Rodriguez II : Un regard d’handicapé sur le phénomène Sue Rodriguez
    • Mme Rodriguez : la force humaine derrière les faits observés
    • Une concordance fortuite, dans la nature et dans le temps, des expériences de l’auteur et celles de Mme Rodriguez
    • Incohérence essentielle de cette vision populaire, d’inclusion sociale, qui soit postulé sur un fonctionnement normal chez la personne handicapée
    • Une vision conséquente de l’inclusion : une perception plus généreuse de la déficience parentale (publié le 27 décembre, 2019)
    • Les jugements personnels de l’auteur devant le phénomène Rodriguez, et les résolutions ainsi provoquées dans l’action
    • De retour au mystère subjectif (publié le 22 janvier, 2020)
    • Les opinions des contemporains de la cause Sue Rodriguez : des individus malades et handicapés, ainsi que des organisations vouées à la défense des intérêts de ces derniers
    • Les conclusions du « Factum » de la Coalition des organisations provinciales des personnes handicapées (devant la Cour Supreme du Canada, Rodriguez vs la Colombie Britannique, 1993)
    • Les bases conceptuelles du Factum
    • Une opposition nette avec la théorie, et avec l’usage, actuels (publié le 12 février, 2020)
  • Chapitre : Rodriguez III : Les leçons apprises d’une conteste mal engagée
    • L’ébauche d’un chemin qui se révéla tortueux
    • deux populations ; deux visions
    • L’évolution d’une loi de « compassion » tragiquement égarée
    • Le rejet de ce « privilège » empoisonné, par les bénéficiaires désignés
    • La correction d’un malentendu coriace (publié le 15 mars, 2020)
    • L’épisode « Hofsess » : un rejet, sans plus, des volontés de la personne, infirme ou dépendante, et la substitution du jugement exécutif du bien-portant/accompagnateur/soignant
    • L’arrogance extraordinaire (mais toujours typique) de John Hofsess ; habilitée par l’inconscience (banale) d’Anne Mullens
    • Une arrogance, pourtant, très familière aux personnes handicapées
    • La réaction admirable de Sue Rodriguez devant les présomptions importunes de John Hofsess
    • Un constat sombre de fait : la dominance manifeste de la vision bien-portante
    • Une confession (et une conclusion) de nature personnelle (publié le 18 avril, 2020)
  • Chapitre : Le suicide assisté et le paysage social après Rodriguez
    • Un procès perdu ; une cause gagnante
    • Hofsess, Robinson et Considine : À quelques détails de stratégie près : une invitation au litige, déclinée par le pouvoir 
    • Entre la fiction et la réalité : un gouffre qui s’expose : la triste victoire pratique des suicides et, surtout, de leurs complices
    • La voie devant : littéraire et politique (publié le 31 mai, 2020)
    • Un cinéma de la mort volontaire, proposée en affirmation ultime de la liberté personnelle : « Whose Life is it Anyway » (1981)
    • Une opposition personnelle au film des MM. Clark et Dreyfuss
    • Un portrait plus fidèle au vécu
    • Un exemple de la superficialité du portrait proposé : la dysfonction sexuelle
    • Une représentation qui répond aux besoins idéologiques du cinéaste : à l’appui des praticiens de l’euthanasie
    • Un débat qui se poursuivait, en vérité, non entre malades et médecins, mais entre médecins de tendances opposées
    • L’installation malheureuse d’une fausse perception qui demeure largement incontestée
    • Un argument futur bien préparé (publié le 11 juillet, 2020)
    • Le cinéma spéculatif se transforme en documentaire : l’épidémie Sida-suicide des années quatre-vingt-dix
    • Un rappel des conditions, jadis, de la vie homosexuelle
    • Une nouvelle littérature et cinématographie de la mort volontaire
    • L’importance de ce phénomène culturel pour le « droit de mourir »
    • Encore une observation quantitative : le nombre, objectivement marginal, des morts par suicide, parmi les personnes atteintes du Sida
    • Une autre source, possible, de l’idéologie suicidaire (publié le 23 août, 2020)
  • Chapitre : Au-delà du cadre médical : la mort assistée en phénomène de mode populaire
    • La satisfaction mal ébauchée du droit de mourir présenté en phénomène médical
    • La vraie histoire récente de la mort assistée par médecin
    • Les implications pour l’évolution des lois futures
    • La nature contextuelle du lien malheureux qui associe le suicide assisté aux professions médicales
    • Les apôtres de l’assistance non-médicale : Hofsess et Humphry
    • Une description schématique du mouvement « Right to Die »
    • Les « réseaux d’auto-délivrance »
    • Les « guides » au service des suicides
    • Les aboutissements pratiques de toute cette énergie organisationnelle, pluri-générationnelle : le témoignage de John Hofsess
    • L’importance du phénomène suicide en mode populaire
    • La fameuse « pente glissante» se révèle en illusion ; une métaphore depuis longtemps dépassée (publié le 3 octobre, 2020)
  • Chapitre : Au-delà du suicide et de la mort volontaire, au bas de la « Pente », se trouve l’euthanasie simple
    • Un constat d’impuissance devant l’opération irrésistible de la pente redoutée
    • Envisagée lucidement : l’euthanasie simple
    • La continuité conceptuelle de l’euthanasie : un grand danger ; averti jadis, mais non éliminé pour autant
    •  Suicide personnel ? Ou homicide de l’État ? Un choix de nature politique qui s’impose (publié le 14 novembre 2020)
    • L’euthanasie des « incapables » : devenue incontournable selon le paradigme de morale objective
    • Malgré une longue litanie de fautes (de méthode et d’intention), l’euthanasie s’impose en « bien » positif comme « soin » médical
    • La logique du choix, « incapable », présumé par analogie
    • Une même erreur de méthode conceptuelle, de multiples effets nocifs
    • Un renforcement mutuel de l’euthanasie normalisée, des capables et des incapables
    • Une nouvelle définition de « refus de soins » qui puisse bien en faire rougir les promoteurs
    • Le bilan d’une transformation, rapide et radicale, du choix vers l’obligation (publié le 27 décembre, 2020)
  • La pente spéculative, et la réalité manifeste : fin d’une illusion confortable
    • La justification, objective, de désirs subjectifs : une contradiction insurmontable
    • La médicalisation radicale du suicide, employée comme tactique ponctuelle
    • La signification originale de la « pente glissante »
    • La leçon présente de la « pente » ; l’inutilité du fardeau médical
    • La liberté de mourir ? Ou l’euthanasie médicale ? Laquelle des deux serait plus à craindre ? (publié le 25 février, 2021)
  • Chapitre : De retour à la liberté
    • Un constat (provisoire) d’incohérence et d’échec
    • Une comparaison surprenante à l’avantage de la liberté subjective
    • Situer ces évidences à l’intérieur des grands thèmes contemporains
    • Répudier la justification médicale (publié le 23 avril, 2021)
    • Le principe de liberté subjective présenté en programme de soutien à la vie
    • Un post mortem critique de la bataille C-7 présenté en exemple illustratif
    • Une démonstration impressionnante de cohérence idéologique, et de force représentative, malgré la défaite attendue
    • Un besoin de départager, avec soin, la question euthanasie des enjeux qui lui sont accessoires
    • L’ébauche d’une stratégie spécifique, fondée sur le respect du choix subjectif (publié le 5 juin, 2021)

Accéder à la suite de la Table des matières détaillée : (Tome Premier : L’euthanasie et le choix — Partie C : l’euthanasie et la médecine)